En continuant de m’inspirer…
Aujourd’hui par Paul dans ses lettres aux
Galates : « Chacun récolte ce qu'il a semé. »
Autrement dit, tout se paie ici-bas.
La nature est extraordinaire, elle se charge
elle-même de tout ce qui s’est fait sans elle…
Et la grande nouvelle, c’est qu’on passera
tous par la caisse, grands et petits, artistes et politiciens, hommes et
femmes, jeunes et vieux, rebelles et opposants, même ceux qui n’ont rien acheté
et qui ont seulement regardé… la sortie c’est par la caisse !
Pour les autres, on paiera tous notre kadi-panier-article-renseignement.
George Bernard Shaw a dit : "Les gens
incriminent sans cesse le destin pour justifier ce qu'ils sont. Je ne crois pas
au destin. Les gens qui font leur chemin dans la vie sont ceux qui se lèvent le
matin et qui cherchent, et même créent, les circonstances qui leur sont
favorables".
Faites
ce que vous n'avez pas l'habitude de faire...
Un fermier peut semer tout ce qu'il veut.
Imaginez qu'il sème du blé en même temps qu'une plante toxique. La terre rendra
la plante toxique aussi abondante que le blé. Votre esprit est bien plus
fertile, mais le même principe s'applique.
Peu importe que vous semiez le succès ou
l'échec, le bien ou le mal, l'anxiété ou la paix, vous récolterez ce que vous
aurez semé. L’un des livres les plus inspirants de la terre, la Bible dit :
"Celui qui sème pour sa chair, moissonnera de la chair la corruption ;
mais celui qui sème pour l'Esprit, moissonnera de l'Esprit la vie
éternelle" (Galates 6.8).
Qu’est-ce que ça veut dire en pratique ?
Exemple : Avoir une identité et des
aspirations. Avoir du pouvoir et du cash à ne pas savoir quoi en faire dans un
coin où tout est à créer… on le mettrait à disposition de sa progéniture ou de
sa population ? Qui nous le rendra mieux, progéniture ou population ?
Tout ça pour dire gauchement que le Congo est
à construire, ce n’est pas un leurre…
On a réussi à créer par la force des choses
une nouvelle classe sociale effarante, où se mélangent riches et pauvres,
gouvernants et gouvernés… là n’est pas la question… sa caractéristique
principale est le creux, le « spectacularly empty »… C’est dommage
que l’élite se désintéresse à ce point de la politique, la laissant à ces
courageux opportunistes qui sont désormais les maîtres et font la loi. Si elle est là, l'élite, elle est en nombre très
réduit. Du coup, on ne travaille plus vraiment pour la pérennité, c’est le règne du « hic
et nunc » - ici et maintenant, demain ne nous appartient plus et de toutes les façons demain nous ne serons pas là !
Alors que demain, justement, nous appartient
encore plus et d’avantage. Ma fille sera dans la gestion de la société
nationale d’électricité – SNEL, que mon fils sera sur terrain dans le Mayumbe…
Qu’est-ce qu’on croit ? Que nos enfants sont tous qui canadiens, qui français,
qui belges et donc le Congo, rien à foutre ? Bêtise ! Ils vont être
propriétaires de maisons qu’on doit payer 25 ans ? Ils vont hériter d’un petit
paiement de 5 ans, ce n’est rien, c’est cela, on a diminué largement les années
restantes ? On aura bossé pour eux toute notre vie pour leur payer le droit d’affirmer
leur « citoyenneté » par un
bien immeuble !
En tout cas. Le Congo existe aussi, quelque
part, juste se le rappeler.
Il y a une reconnaissance tellement
valorisante de la part de ceux à qui on ne doit rien… Je ferme ma parenthèse,
qui n’est pas de George Bernard Shaw.
Si vous désirez réussir dans votre vie
quotidienne, apprenez à mieux connaître Dieu dans sa Parole et dans la prière.
Si c’est trop dur à faire ou à comprendre,
disons-le autrement : Chaque jour, mettez-vous au service de quelqu'un,
affrontez une difficulté qui vous dépasse, encouragez ceux que vous croisez.
Commencez à combattre une vieille habitude, faites quelque chose pour celui qui
ne pourra pas vous le rendre, réjouissez-vous pour chaque journée et non pour
le week-end seulement.
Faites ce que vous n'avez pas l'habitude de
faire, soyez reconnaissant de ce que vous avez, demandez éventuellement de
l'aide et donnez à Dieu le meilleur de vos journées. Je dis Dieu, vous pouvez
dire les autres, dans l’ailleurs, au-delà de l’atlantique…
C’est pareil selon l’endroit où on se
positionne… Moi ma direction, je le disais en ce début d’année 2013, c’est de
garder le sourire et de continuer de passer à travers toutes les mochitudes
– on est au Canada et j’invente mon français, si, si… Et puis pour être passée
à travers, franchement, ça mérite un mot nouveau pour décrire un certain type
d’humain, une certaine attitude, un certain comportement ou simplement les adeptes
des mochitudes…
Chance et malchance n’existent pas, tout est
question d’attitude.
Ceux qui se croient malchanceux agissent
différemment que les personnes qui s’estiment globalement vernies. Richard
Wisemane, professeur de psychologie à l'Université d’Hertfordshire, a examiné
ce phénomène lors d’une expérience menée pendant 10 ans. Il en est ressorti que
les chanceux abordent leur vie de façon différente. Mais aussi que le «
malchanceux » peut ajuster son comportement pour voir sa vie changer. En effet,
en étant optimiste on crée une dynamique positive. On se trouve moins paralysé
devant les événements et on peut les tourner en notre faveur grâce à des
solutions créatives.
C’est là qu’on parle du Carpe diem…
On ne parle pas de beuveries et d’excès parce
que ce serait aujourd’hui ou jamais. Non. Pas que cela. Mais bien plus que
cela.
La chance sourit à ceux qui ne reportent pas
au lendemain ce qu’ils peuvent faire le jour même. Comme l'écrit le psychiatre
Mark Banschick dans Psychology Today et repris par le HuffingtonPost, "un
évènement que vous remettez à plus tard est un événement qui ne se reproduira jamais – au grand jamais. Il y aura peut-être une opportunité similaire dans le
futur, mais ce ne sera pas la même opportunité – et vous ne serez pas la même
personne. Le temps nous transforme." Pas de procrastination qui tienne
donc.
Un chanceux est juste une personne plus
concentrée, alerte et tournée vers l’action. Il veut être producteur et non consommateur.
Il crée, il bouge.
Ceux qui se considèrent comme malchanceux
sont plus immobiles, anxieux et ont davantage de mal à se focaliser sur quelque
chose, surtout en cas de situation inattendue. Une réaction-brouillon qui
nuirait à l’efficacité et la réussite d’une action…
Bien dit, Bibish.
RépondreSupprimerComme d'habitude.
Suis tout à fait en accord avec ce que tu mentionnes.
Si facile de dire "ah, lobi".....
Et si on ne peut le faire le jour prévu, s'atteler à ce que l'on veut vraiment faire!
Ne pas perdre une seconde.
Clémenceau disait: "Dire ce que l'on fait et faire ce que l'on dit".
J'y ajoute: si on ne peut pas tenir ce que l'on a dit, être objectif et dire sa vérité, sans détour. Car oui, parfois on ne peut pas tenir ce que l'on a dit....l'honnêteté face à soi-même et face aux autres est essentielle.
J'aime faire partie des chanceuses et de le fait, je le suis.
Merci de nous rappeler ces 'essentiels" de voyage sur Terre que nous avons dans notre petite besace -le coeur symbolique- comme carte routière.
Ces "rappels à l'ordre" , nous en avons tous bien besoin, embarqués dans des tourbillons que nous avons le devoir de ralentir, de décider de ce que l'on veut VRAIMENT.
Toutes mes amitiés
Lina
slt, ma soeur!
RépondreSupprimercurieux de constater le lien de ton site dans le courriel que tu m'envoyais en guise de réponse... me voilà ici sur ton site perso; alors, vite, un mot: chapeau bas!
rapidement, mes yeux ont défilé sur cet article, le seul que j'aie lu et du coup apprécié: un bon coaching sur la vie, et, comme le dis Lina, des très bons "rappels à l'ordre" sur notre pérégrination sur terre.
Tu écris:"Chance et malchance n’existent pas, tout est question d’attitude." et je paraphrase : "Ton attitude détermine ton altitude!".
Tu écris encore: "Un chanceux est juste une personne plus concentrée, alerte et tournée vers l’action", et je paraphrase encore " le succès: c est la rencontre de la préparation avec l’opportunité!"
Tout ça pour montrer à quel point tu dis et écris des choses justes et interpellantes: je soutiens ta démarche et te souhaite plein succès!
Amitiés.
Ali.