Avant de me lancer dans mon post, je voudrais
relever moi-même mon absence pendant cinq mois : J’étais en train de donner
et célébrer la vie avec les miens…
Et rire de l’ironie de l’existence.
Le rire de Sarah, la femme d’Abraham, c’est mon
rire aussi depuis un temps.
Comme je partage pas mal – je suis une bavarde
-, ce serait explicitement lisible dans un de mes prochains romans, c’est sûr.
Partager m’ayant aidée à contourner une
dépression, alors…
Vérifier ses perceptions est un acte d’assainissement.
Ça fixe les choses, ça clarifie les relations
et donnent aux impressions le nom de certitudes. C’est pour ça qu’il faut se
parler.
Je peux mal entendre, mal interpréter, mais je
peux écouter et comprendre dans une discussion qui intervient avec ce but
ultime : la compréhension.
Les dirigeants, comme certains hommes et
certaines femmes en couple, excellent dans l’art du flou !
Ils préfèrent laisser entendre au lieu de faire
comprendre.
Et bonjour la panoplie des termes qui s’ensuivent dans
le genre glissement, manipulation, ou autre.
Ce mois de décembre me trouve dans la gratitude
et c’est dans cela que je voudrais rester et vous laisser.
On reprendra nos grandes questions
existentielles l’année prochaine, un nouvel an qui arrive dans exactement 4
jours…
Bonne année.